dimanche 27 mai 2012



Le travail d'écriture est indissociable, pour moi, d'un état de disponibilité sensible au monde qui s'apparente à une profonde rêverie. 






glycine de la Villa Beauséjour







3 commentaires:

  1. As-tu remarqué comment cette glycine a, petit à petit, englobé par endroit le barbelé? Phagocythé le barbelé, bouffé le barbelé...L'existe plus le barbelé.
    Je la soupçonne d'avoir entrepris de faire disparaître aussi le poteau électrique...
    A chaque fois elle me redonne du courage.

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  2. Ah merde...Phagocy-thé? Phagocyté...ça m'apprendra à employer des gros mots!

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  3. phagocyté au jasmin... Oui, barbelé étranglé, caressé, amoureusement étreint...

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